صورة عبد الكريم بن عبد الله
Restons fidels à notre mémoire et marchons dans la voie communistes et de son bras armée anti coloniale Croissant Noir et de notre dirigeant Abdelkrim Ben Abdallah
Abdelkrim Benabdallah fut assassiné assassinat, le 31 mars 1956 au lendemain de ‘’l’indépendance’’ formelle du Maroc à Casablanca, en bas de son domicile de la route de Médiouna, par la «Monadama assirya» (l’organisation clandestine que dirigeait Mehdi Benbarka ! . Ce grand dirigeant du Parti communiste marocain et de son bras armé contre le colonialisme «Al Hilal Al Aswad» (Croissant noir). Géologue de formation, à l’époque, il avait été le premier Maghrébin à porter, haut et fort, la voix du Maroc au Congrès de Copenhague du mouvement mondial de la paix.
Abdelkrim, avec ses compagnons de l’époque, d’Abdeslam Bourquia, d’Abdallah Layachi, de Mohammed Setti et d’autres, était l’exemple du patriote conséquent, l’intellectuel de la révolution populaire contre la mainmise sur le Maroc. Ceux qui l’avaient connu ont gardé de lui un souvenir d’homme intègre, résolument engagé dans le combat patriotique et social.
Il avait renoncé à son salaire professionnel pour mener le combat du Maroc indépendant, contre un salaire de misère qu’assurait, bon an mal an, le Parti communiste marocain à ses «permanents».
Abdelkrim Benabdallah, en dirigeant politique et responsable du « Croissant noir », avec feus Abdallah Haddaoui et Abas Messadi, a mené un combat d’avant-garde contre le colonialisme, en organisant de multiples actions armées contre les colons et les traîtres à la Patrie.
Son assassinat, le 31 mars 1956 à Casablanca, ainsi que ceux de Abdallah Hadoui , Abas mssadi patriote progressiste avec qui ils ont formé le front révolutionnaire armée Croissant Noir par les traîtres de la patrie dont Ben Barka Mehdi, Allal Fassi, dirigeants indignes de l’Istiqlal, qui ont réhabilité de la monarchie pour lui instituer les nouvelles mécanisme du pouvoir absolue, par les Accords de trahison National d’Aix Les
La camapgne de la haine et de tuerie qui avait suivi l’indépendance du Maroc et tous ceux qui ont été l’objet de tentatie d’assassinat de la part de ces milices fascistes pour tous ceux qui avaient des sympathies communistes.
Nous en tant que communistes marocains nous devons entériné notre mémoire et dénoncer les contre révolutionnaires dont le premier a été parmi les premiers après la prétendue indépendance dont nous payons les frais actuellement et de cette honteuse conspiration anti patriotique, et anti communiste.
Abdelkrim Benabdallah fut assassiné assassinat, le 31 mars 1956 au lendemain de ‘’l’indépendance’’ formelle du Maroc à Casablanca, en bas de son domicile de la route de Médiouna, par la «Monadama assirya» (l’organisation clandestine que dirigeait Mehdi Benbarka ! . Ce grand dirigeant du Parti communiste marocain et de son bras armé contre le colonialisme «Al Hilal Al Aswad» (Croissant noir). Géologue de formation, à l’époque, il avait été le premier Maghrébin à porter, haut et fort, la voix du Maroc au Congrès de Copenhague du mouvement mondial de la paix.
Abdelkrim, avec ses compagnons de l’époque, d’Abdeslam Bourquia, d’Abdallah Layachi, de Mohammed Setti et d’autres, était l’exemple du patriote conséquent, l’intellectuel de la révolution populaire contre la mainmise sur le Maroc. Ceux qui l’avaient connu ont gardé de lui un souvenir d’homme intègre, résolument engagé dans le combat patriotique et social.
Il avait renoncé à son salaire professionnel pour mener le combat du Maroc indépendant, contre un salaire de misère qu’assurait, bon an mal an, le Parti communiste marocain à ses «permanents».
Abdelkrim Benabdallah, en dirigeant politique et responsable du « Croissant noir », avec feus Abdallah Haddaoui et Abas Messadi, a mené un combat d’avant-garde contre le colonialisme, en organisant de multiples actions armées contre les colons et les traîtres à la Patrie.
Son assassinat, le 31 mars 1956 à Casablanca, ainsi que ceux de Abdallah Hadoui , Abas mssadi patriote progressiste avec qui ils ont formé le front révolutionnaire armée Croissant Noir par les traîtres de la patrie dont Ben Barka Mehdi, Allal Fassi, dirigeants indignes de l’Istiqlal, qui ont réhabilité de la monarchie pour lui instituer les nouvelles mécanisme du pouvoir absolue, par les Accords de trahison National d’Aix Les
La camapgne de la haine et de tuerie qui avait suivi l’indépendance du Maroc et tous ceux qui ont été l’objet de tentatie d’assassinat de la part de ces milices fascistes pour tous ceux qui avaient des sympathies communistes.
Nous en tant que communistes marocains nous devons entériné notre mémoire et dénoncer les contre révolutionnaires dont le premier a été parmi les premiers après la prétendue indépendance dont nous payons les frais actuellement et de cette honteuse conspiration anti patriotique, et anti communiste.